Agriculture "*" indique les champs que vous devez remplir. 12 Merci de prendre quelques minutes pour répondre à ce questionnaire. Votre avis est essentiel pour nous permettre de lutter efficacement contre l’agriculture intensive et promouvoir des solutions durables et pérennes. Vos réponses resteront confidentielles. Merci pour le temps que vous allez consacrer à y répondre (temps estimé à moins de 3 minutes). 1) Vous êtes ?* Une femme Un homme Autre 2) Où vivez-vous ?* Dans une grande ville (plus de 100 000 habitants) Dans une ville moyenne (plus de 10 000 habitants) Dans une petite ville (plus de 2 000 habitants) Dans un territoire rural (moins de 2 000 habitants) 3) Travaillez-vous comme agriculteur/agricultrice ou avez-vous une personne de votre famille qui est agricultrice ?* oui, je suis agriculteur ou agricultrice oui, je travaille dans le secteur agricole mais je ne suis pas agriculteur ou agricultrice une personne de ma famille est agricultrice aucune de ces réponses 4) Selon vous, la crise agricole qui secoue la France et l'UE est liée :*OuiNonJe ne sais pasAux accords de libre-échangeAux normes environnementalesA l'industrialisation de notre agricultureAu manque de productivité de notre agriculture5) Notre modèle agricole doit répondre à plusieurs enjeux. Déplacez les propositions suivantes, à l’aide de votre souris ou de votre doigt, de la plus préoccupante (en haut) à la moins préoccupante (en bas) selon vous.Permettre une juste rémunération des agriculteurs et agricultricesFaire en sorte que la population française ait accès à une alimentation saine et durableÊtre compatible avec les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique6) Greenpeace demande une réforme du système agricole qui permette aux agriculteurs de vivre dignement de leur travail, de protéger les écosystèmes et de garantir une alimentation saine pour toutes et tous. Déplacez les propositions suivantes, à l’aide de votre souris ou de votre doigt, de la plus préoccupante (en haut) à la moins préoccupante (en bas) selon vous.Mettre un terme aux accords de libre-échange, qui mettent en concurrence les agriculteurs de l’Europe et du monde entier, aggravent leur paupérisation et accentuent la crise climatique et environnementale.Limiter l’industrialisation de l’agriculture en instaurant par exemple un moratoire sur l’installation et l’extension des fermes-usines au profit, d’un soutien à l’agro-écologie.Mettre en place un prix plancher, une mesure portée par de nombreux agriculteurs, qui interdirait la vente de produits agricoles à perte (en tenant compte des coûts, de la rémunération du travail et des cotisations).Encadrer les marges des intermédiaires (transformateurs et distributeurs), pour garantir une meilleure répartition de la valeur dans les filières alimentaires, notamment sur les produits bio.Réformer drastiquement la politique agricole commune (PAC) de l’Union européenne, pour flécher un maximum l’argent public vers les agriculteurs les plus vulnérables, les exploitations d’agriculture biologique et vers l’accompagnement pérenne à la transition agroécologique.Mettre en place une sécurité sociale de l’alimentation. C’est un dispositif financé par les cotisations sociales qui permettrait à chaque citoyen-ne de disposer d’une certaine somme chaque mois (150 euros par exemple) pour acheter des produits alimentaires écologiques et sains.8) Savez-vous que pour préserver son entière liberté de parole et d’action, Greenpeace fait le choix de refuser le soutien financier des États, des entreprises et des pouvoirs politiques ?* Oui Non 9) Trouvez-vous cela important ?* Oui Non EmailThis field is for validation purposes and should be left unchanged.