Thionville, le 27 février 2018
Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France déclare :
« Greenpeace France, ses militants et son chargé de campagne nucléaire ont immédiatement décidé de faire appel de cette décision de justice très sévère. C’est la première fois que des militants de l’association sont condamnés à une peine de prison ferme. Yannick Rousselet, salarié de Greenpeace France, est quant à lui condamné pour « complicité » alors qu’aucun fait n’a été établi.
Ces lourdes sanctions ne sont pas acceptables pour l’organisation qui a joué son rôle de lanceur d’alerte. Greenpeace France tentera d’en convaincre la Cour d’appel et ne cessera pas de dénoncer l’irresponsabilité d’EDF en matière de sécurité nucléaire. Tout comme elle continuera à participer au débat institutionnel pour démontrer la fragilité des installations nucléaires d’EDF. »