Le 21 février 2020 des militant·es de Greenpeace commençaient le démontage de la centrale nucléaire du Tricastin. L’objectif de l’action était d’alerter sur le vieillissement de cette centrale et exiger sa fermeture au plus tôt.
34 activistes devaient être jugé·es le 17 novembre 2020 au tribunal de grande instance de Valence. Leur procès est finalement reporté en raison de la crise sanitaire. Ces femmes et ces hommes ont pourtant agi au nom de l’intérêt général, pour dénoncer des risques réels.
A quand le procès du nucléaire, plutôt que celui des lanceur·ses d’alerte ?
Conférence diffusée en direct dimanche 15 novembre, de 14h à 17h sur Facebook et sur Youtube
Ces 34 activistes ne sont pas seul·es à dénoncer le risque nucléaire : des milliers de personnes, qu’elles soient militantes ou simples citoyen·nes disent non au nucléaire. En amont du procès, nous ferons entendre les voix de ces personnes qui ont toute une raison légitime de s’opposer au nucléaire.
Pour soutenir celles et ceux qui lancent l’alerte et dire non à la fausse solution nucléaire, nous vous proposons d’ores et déjà d’agir :
- affichez votre opposition au nucléaire, en soutien aux activistes
- Participez à une conférence en ligne sur Facebook ou Youtube diffusée en direct dimanche 15 novembre, de 14h à 17h. Vous pourrez poser vos questions sur nos réseaux sociaux ou auprès de nos groupes locaux aux différents intervenants, parmi lesquels Henri Waisman (membre du Giec), Mathilde Szuba (maître de conférences en Sciences politiques), Eric Guéret (réalisateur du documentaire « Sécurité nucléaire : le grand mensonge », Etienne Ambroselli (avocat des opposant·es au projet Cigéo)…
- relayez les messages de soutien aux activistes sur les réseaux sociaux, avec le hashtag #ProcèsDuNucléaire
Rendez-vous très prochainement à cette même adresse proces-nucleaire.greenpeace.fr pour davantage d’informations. Vous y trouverez des témoignages, vidéos, documentaires et ressources sur le nucléaire et le procès de Valence. D’ici là, prenez soin de vous !