En 2012, François Hollande s’est fait élire notamment sur la promesse, formulée sous la pression de Greenpeace, de légiférer pour amorcer une sortie progressive du nucléaire, en ramenant la part du nucléaire dans le mix électrique de 75 % à 50 % d’ici 2025. Une première pour la France, le pays le plus nucléarisé du monde.
Bonne nouvelle : la loi Transition énergétique, notamment grâce à la vigilance de Greenpeace, inclut l’objectif de ramener la part du nucléaire à 50 % du mix d’ici 2025.
Mauvaise nouvelle : aucun décret ne permet pour le moment de réaliser concrètement cet objectif. Un scandale démocratique.