Cet accord doit marquer le début de la désescalade et d’un cessez-le-feu inconditionnel, global et permanent, dans tout le Moyen-Orient !
Les dégâts humanitaires et environnementaux causés par 416 jours de violence sont intolérables.
Les tirs et les bombardements doivent cesser immédiatement à Gaza.
Il est temps de mettre en place une aide humanitaire massive et pleinement accessible, et de lancer des négociations en vue d’une paix durable basée sur la sécurité, la justice et l’égalité des droits pour toutes et tous. Le droit international doit être respecté.
Greenpeace demande au Hamas de libérer immédiatement tous les otages, et au gouvernement israélien de cesser de bloquer l’approvisionnement en nourriture, en eau, en médicaments et en carburant de la population gazaouie, et de libérer tous les civils détenus illégalement.
Greenpeace réclame un embargo mondial sur toutes les ventes et tous les transferts d’armes qui pourraient être utilisées pour alourdir encore le bilan des crimes de guerre dont les deux parties devront répondre à l’issue de ce conflit.
Greenpeace reconnaît que les causes profondes et historiques du conflit doivent être discutées pour pouvoir instaurer une paix durable. Nous appelons à la fin de l’occupation illégale de la Palestine. Et nous soutenons l’ambition de la résolution du Conseil de sécurité des Nations unies selon laquelle « Israël et la Palestine vivent côte à côte en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues, conformément au droit international et aux résolutions pertinentes des Nations unies ».