En direct de Privas, le 17 mai : #ProcesNucleaire
Revivez sur cette page le rassemblement organisé à Privas, square Vincent d’Indy, en face du tribunal de grande instance, le 17 mai
L’audience est terminée. Le jugement est mis en délibéré et sera rendu le 28 juin à 13h30 à Privas. Les militant-es sortent sous les applaudissements. Un grand merci à toutes celles et ceux qui se sont mobilisés !
Le procès est retranscrit en direct par la Tribune (Ardèche) et le Dauphiné Libéré (Privas)
Le procès a repris à 13 heures. A l’extérieur du tribunal, la mobilisation continue tout l’après-midi : discussions, rencontres, ateliers et préparation de banderoles pour soutenir les militants !
A 12h, toujours beaucoup de monde venu soutenir les militantes et militants, alors que les débats se poursuivent à l’intérieur du tribunal.
A 10h, environ 300 personnes sont présentes, alors que le procès à débuté il y a à peu près une heure. Prises de parole et atelier banderoles :
Le procès a débuté ce matin vers 9h :
Intervention de Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France, avant d’entrer au tribunal
Intervention de Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire pour Greenpeace France
A Berlin aussi, un rassemblement est organisé devant l’ambassade de France, pour soutenir les militants de Greenpeace !
Plus de 300 personnes réunies au matin du 17 mai devant le tribunal de grande instance de Privas !
Pour plus de renseignements sur l’organisation de ce rassemblement et le contexte de ce procès : Procès de nos militants : rendez-vous à Privas le 17 mai
Une mobilisation exceptionnelle
Au lendemain du procès de Thionville, qui s’est tenu le 28 février, et plusieurs semaines avant celui de Privas, des milliers de personnes en France et dans le monde ont affiché leur soutien aux militant-es de Greenpeace et partagé ce message : en dénonçant le risque nucléaire d’EDF, ces activistes ont agi pour nous toutes et tous.
Pourquoi ces intrusions : dénoncer les failles de sécurité nucléaire
Greenpeace, 22 activistes et un salarié sont poursuivis par EDF à la suite de l’intrusion du 28 novembre 2017 dans la centrale nucléaire de Cruas-Meysse.
Pourquoi cette intrusion dans la centrale nucléaire de Cruas-Meysse ? Pour dénoncer l’accessibilité et la fragilité des piscines d’entreposage de combustible usé, comme d’autres militants de Greenpeace France l’avaient démontré six semaines auparavant, en s’introduisant dans la centrale de Cattenom en Moselle le 12 octobre. Alors que ces bâtiments sont les plus chargés en radioactivité, ils sont très mal protégés face aux risques d’attaques extérieures.
(Crédits photographiques : © Elsa Palito / Greenpeace)