Ils ont présenté la campagne de Greenpeace sur la sécurité nucléaire, notamment sur la vulnérabilité des piscines d’entreposage du combustible usagé. Ils ont ensuite rappelé les différentes actions menées par les activistes et militant-es des groupe locaux.
Les lourdes peines prononcées contre les activistes qui se sont introduits dans la centrale de Cattenom sont à l’origine de cette initiative d’ATTAC.
Une large place a été donnée aux questions et échanges. En particulier sur le fonctionnement de Greenpeace, le statut de lanceur d’alerte, la répression qui s’abat de plus en plus contre des militant-es écologistes, en France et dans le monde…
Merci aux militant-es d’ATTAC d’avoir organisé cette rencontre très intéressante.