Le 16/11/13 a été une journée de mobilisation internationale de soutien à nos 28 activistes et 2 freelances détenus en Russie.
A Strasbourg, les passants étaient invités à signer une pétition et à s’enfermer dans une cellule à l’image des « cages » dans lesquelles les militants comparaissent au tribunal.
La situation à laquelle font face les défenseurs du climat est très grave. Après avoir été accusés de piraterie, ils sont à présent sous le chef d’inculpation de hooliganisme. Ils sont tous détenus en détention provisoire pour deux mois (jusqu’au 24 novembre) et le procureur pourrait prolonger cette détention provisoire.
Là où la piraterie et le hooliganisme signifient violence, depuis 40 ans, Greenpeace suit les principes de la non-violence, est un témoin influent et proteste pacifiquement, tout comme Gandhi, Martin Luther King et Rosa Parks l’ont fait avant nous. Leur action a été uniquement guidée par l’inquiétude sincère qu’ils portent à l’environnement et à l’Arctique. Ces inquiétudes sont partagées par les experts scientifiques du monde entier.
Nous croyons en la primauté de la loi et pensons qu’elle doit être respectée. Nous demandons simplement une réponse proportionnée aux actions pacifistes de nos activistes. Nos activistes assument leurs actes devant la justice, à la hauteur de ce qu’ils ont commis. Aujourd’hui, que ce soit la piraterie puis maintenant le hooliganisme, ils font face à des charges complètement disproportionnées.
Merci à tous les participants !
Retrouvez ci-dessous la galerie photo de l’événement :
Greenpeace porte plainte auprès de la Commission européenne contre l’Etat français dénoncer le caractère illégal de l’aide qu’il a octroyée à la société EDF, suite à l'opération de recapitalisation bouclée en mars 2017. Cette aide, qui se chiffre à plusieurs milliards d’euros, vise à financer des projets nucléaires particulièrement risqués pour l’entreprise, dont principalement celui d’Hinkley Point au Royaume-Uni.
Aujourd’hui, nous interrompons nos communications habituelles pour vous parler d’une situation exceptionnelle. Produits forestiers Résolu, la plus grande entreprise forestière au Canada, a lancé deux poursuites-bâillon de centaines de millions de dollars contre Greenpeace Canada, Greenpeace International et plusieurs entités de Greenpeace aux États-Unis. Son but : réduire au silence notre campagne pour la protection de la forêt boréale canadienne.
MISE À JOUR (17 mai 2017) : La justice de l’État de Géorgie donne raison à Greenpeace et transmet l’affaire Résolu c. Greenpeace à la Californie. Hier, le tribunal du district sud de l’État de Géorgie (Etats-Unis) a décidé de transférer l’affaire Résolu c. Greenpeace au district nord de l’État de Californie, au motif que l’exploitant forestier n’était pas parvenu à démontrer que l’affaire devait être entendue en Géorgie. La justice vient d’infliger un premier revers à l’entreprise Résolu, dont les manœuvres d’intimidation visent à faire taire ceux qui la critiquent, et ce revers ne sera pas le dernier.
Aujourd’hui, nous interrompons nos communications habituelles pour vous parler d’une situation exceptionnelle. Produits forestiers Résolu, la plus grande entreprise forestière au Canada, a lancé deux poursuites-bâillon de centaines de millions de dollars contre Greenpeace Canada, Greenpeace International et plusieurs entités de Greenpeace aux États-Unis. Son but : réduire au silence notre campagne pour la protection de la forêt boréale canadienne.
Greenpeace porte plainte auprès de la Commission européenne contre l’Etat français dénoncer le caractère illégal de l’aide qu’il a octroyée à la société EDF, suite à l'opération de recapitalisation bouclée en mars 2017. Cette aide, qui se chiffre à plusieurs milliards d’euros, vise à financer des projets nucléaires particulièrement risqués pour l’entreprise, dont principalement celui d’Hinkley Point au Royaume-Uni.