Lambert Wilson soutient Greenpeace sur les ondes
L’acteur Lambert Wilson continue de soutenir le combat de Greenpeace pour la protection de l’environnement et vient d’enregistrer un spot radio pour encourager les legs au profit de l’association.
Dans le monde entier, Greenpeace n’accepte aucun don d’entreprises, d’organisations étatiques ou de gouvernements. En France, Greenpeace s’appuie sur la confiance et la générosité de plus de 200 000 adhérent-e-s, qui représentent son unique source de financement.
« C’est en tant que témoin du travail de Greenpeace depuis plus de 18 ans que je prends la parole aujourd’hui sur l’importance des legs pour l’organisation, explique Lambert Wilson. La liberté d’action et l’efficacité de l’organisation dépendent de son indépendance financière. Le nombre des donateurs et donatrices de Greenpeace France augmente depuis 15 ans car les Françaises et Français sont sensibles à ses combats pour l’environnement. Faire un legs à Greenpeace, c’est un geste simple et concret, un geste d’espoir ».
Les spots seront diffusés du 8 au 21 octobre sur France Inter et France Bleu.
Le legs permet de transmettre tout ou partie de son patrimoine à son décès. De plus en plus de personnes choisissent de léguer une partie de leurs biens à des associations dont elles partagent les valeurs.
Greenpeace France a reçu son premier legs en 1999. Aujourd’hui, ce mode de soutien est une source importante de financement et permet à l’association de renforcer ses actions pour la planète. Grâce à son fonds de dotation, Greenpeace France est habilitée à recevoir des legs, des donations et des assurances-vie en exonération de toute imposition.
Fidèle soutien de Greenpeace depuis plus de dix-huit ans, Lambert Wilson s’est rendu au Brésil et en Guyane au printemps dernier avec Greenpeace dans le cadre de sa campagne pour la défense du Récif de l’Amazone [1].
L’acteur, qui incarnait le commandant Cousteau dans le film “L’Odyssée”, a d’abord rencontré pendant une semaine, dans le nord du Brésil, des communautés qui vivent dans l’embouchure du fleuve Amazone. Puis il s’est rendu à Cayenne, en Guyane, pour rendre compte de son voyage et échanger avec les scientifiques brésiliens qui étaient à bord de l’Esperanza, un des bateaux de Greenpeace.
Notes aux rédactions :
[1] https://media.greenpeace.fr/163/?_ga=2.74036176.397769172.1538380594-1878168155.1532508061
Pour en savoir plus sur le financement de Greenpeace : https://www.greenpeace.fr/connaitre-greenpeace/transparence-financiere/
Pour en savoir plus sur les legs : https://www.greenpeace.fr/legs-assurances-vie/