Surpêche, forages pétroliers, pollution plastique, tests sismiques et bientôt exploitation minière en eaux profondes… Les menaces qui pèsent sur nos océans sont nombreuses et infligent de graves dommages à leurs écosystèmes.Privés de leur biodiversité et perturbés par le changement climatique, les océans risquent de ne plus pouvoir assurer leur rôle de régulateur du climat et de puits de carbone. Il y a urgence à les protéger !
Le saviez-vous ?
Les océans absorbent environ 30 % des émissions mondiales de CO2.
NOTRE OBJECTIF : obtenir la ratification d’un Traité sur la haute mer à l’ONU, permettant la création de réserves marines couvrant au moins 30% des océans à l’horizon 2030.
Face à la multiplicité des menaces qui pèsent sur les océans, les bureaux internationaux de Greenpeace co-construisent cette stratégie en se répartissant le travail en fonction de leurs expertises et de leur géographie, par exemple :
Pour témoigner et agir contre les destructions et les pollutions des océans, les bureaux de Greenpeace du monde entier peuvent compter sur la flotte Arc-en-ciel, composée de trois navires : le Rainbow Warrior, l’Artic Sunrise et le Witness.
Depuis le début des négociations internationales du traité sur la haute mer en 2019, les différents bureaux de Greenpeace ont chaque année mené des expéditions de grande envergure :
La mutualisation des moyens de l’ensemble de nos bureaux et d’une importance capitale pour pouvoir agir rapidement, efficacement et en toute indépendance, quelles que soient les menaces.
Au cours des dernières années, les actions coordonnées des bureaux de Greenpeace ont permis de remporter de grandes victoires.
En 2006, les scientifiques étaient formels : le thon rouge était amené à disparaître, victime de la surpêche. Les bureaux de Greenpeace France, Italie, Espagne, Grèce et États-Unis se sont mobilisés pour monter une campagne d’envergure mondiale. Grâce à un travail titanesque de confrontation, d’investigation et de plaidoyer, le quota de surpêche a pu être divisé par trois. Après quelques années, le stock de thon est désormais en cours de reconstitution.
Face aux destructions massives causées par le chalutage de fond, en 2009, les équipes de Greenpeace ont largué plus de 200 blocs rocheux sur le plancher océanique de deux zones marines protégées suédoises, dans la baie de Kattegat. Le but : empêcher le passage des filets de pêche et protéger ainsi les espèces marines, dont les marsouins et les requins. Greenpeace a ensuite déposé une plainte officielle auprès de la Commission européenne qui a abouti à l’interdiction totale du chalutage de fond dans toutes les zones protégées de la baie et de la pêche dans la moitié d’entre elles !
Nous continuerons de protéger les océans et leur incroyable biodiversité face à l’avidité des industriels, et préserverons ainsi l’un de nos meilleurs remparts contre le changement climatique.
66 % du montant de votre don sont déductibles de vos impôts sur le revenu. pour en bénéficier en 2022, soutenez nos actions avant le 31 décembre !
Si vous êtes imposable, 66 % de votre don est déductible de votre impôt sur le revenu dans la limite de 20 % de vos revenus imposables. Que vous soyez imposable ou non, Greenpeace reçoit l’intégralité de votre don. Merci !