Greenpeace, un salarié et 22 activistes étaient jugés jeudi 17 mai à Privas, en Ardèche, pour avoir dénoncé les failles de sécurité des centrales nucléaires. Plusieurs centaines de personnes sont venues les soutenir. Le jugement a été mis en délibéré et sera rendu le 28 juin.
En direct de Privas, le 17 mai : #ProcesNucleaire
Revivez sur cette page le rassemblement organisé à Privas, square Vincent d’Indy, en face du tribunal de grande instance, le 17 mai
☢️ #ProcesNucleaire ☢️ 22 activistes et 1 salarié de Greenpeace poursuivis 8h d'audience 300 personnes à Privas et des milliers dans le monde pour soutenir les lanceurs d'alerte face au risque nucléaire Ca s'est passé le 17 mai https://t.co/9K9j3I1kGepic.twitter.com/7RyldVvWdk
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L’audience est terminée. Le jugement est mis en délibéré et sera rendu le 28 juin à 13h30 à Privas. Les militant-es sortent sous les applaudissements. Un grand merci à toutes celles et ceux qui se sont mobilisés !
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Le procès est retranscrit en direct par la Tribune (Ardèche) et le Dauphiné Libéré (Privas)
Le procès a repris à 13 heures. A l’extérieur du tribunal, la mobilisation continue tout l’après-midi : discussions, rencontres, ateliers et préparation de banderoles pour soutenir les militants !
Toujours mobilisé-es devant le tribunal de Privas, en soutien aux militant-es en procès cet après-midi pour avoir dénoncé le risque nucléaire. Rencontres, discussions sur la sécurité nucléaire et les énergies renouvelables, et ateliers se poursuivent #ProcesNucleairepic.twitter.com/gFIu8UBcAQ
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A 12h, toujours beaucoup de monde venu soutenir les militantes et militants, alors que les débats se poursuivent à l’intérieur du tribunal.
Le rassemblement de soutien aux militant-e-s de Greenpeace, devant le tribunal de Privas, se poursuit. Dans la salle d'audience, le procès continue, avec notamment des questions de fond sur la sécurité nucléaire #ProcesNucleairepic.twitter.com/PmjdTg0ceD
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A Berlin aussi, un rassemblement est organisé devant l’ambassade de France, pour soutenir les militants de Greenpeace !
Solidaires avec les lanceurs d'alerte jugés aujourd'hui à Privas, des citoyens et citoyennes sont rassemblé-es devant l'ambassade de France à Berlin. La Marseillaise au violoncelle, pour dire merci aux militants engagés pour nous toutes et tous ! #ProcesNucleairepic.twitter.com/pXBYYuCpSH
Au lendemain du procès de Thionville, qui s’est tenu le 28 février, et plusieurs semaines avant celui de Privas, des milliers de personnes en France et dans le monde ont affiché leur soutien aux militant-es de Greenpeace et partagé ce message : en dénonçant le risque nucléaire d’EDF, ces activistes ont agi pour nous toutes et tous.
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Pourquoi ces intrusions : dénoncer les failles de sécurité nucléaire
Greenpeace, 22 activistes et un salarié sont poursuivis par EDF à la suite de l’intrusion du 28 novembre 2017 dans la centrale nucléaire de Cruas-Meysse.
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Pourquoi cette intrusion dans la centrale nucléaire de Cruas-Meysse ? Pour dénoncer l’accessibilité et la fragilité des piscines d’entreposage de combustible usé, comme d’autres militants de Greenpeace France l’avaient démontré six semaines auparavant, en s’introduisant dans la centrale de Cattenom en Moselle le 12 octobre. Alors que ces bâtiments sont les plus chargés en radioactivité, ils sont très mal protégés face aux risques d’attaques extérieures.