Samedi 18 octobre, les militants de Greenpeace Versailles ont rejoint la mobilisation nationale des groupes locaux de Greenpeace pour aller à la rencontre des consommateurs et leur expliquer en quoi la marque Petit Navire est aujourd’hui complice de la destruction des océans.
C’est au centre commercial Leclerc de Bois d’Arcy (Yvelines) que les militants de Greenpeace Versailles ont déployé leur faux stand promotionnel « Petit Navire, le bon goût du carnage ». Leader sur le marché de la conserve de thon, Petit Navire n’en est pas moins particulièrement mal classé par Greenpeace en matière de pêche durable. La marque s’approvisionne essentiellement en thon albacore, menacé par la surpêche et surtout victime des DCP, une technique piégeant toutes sortes de poissons sans discernement de tailles, d’espèces…
Greenpeace dénonce une nouvelle fois la pêche industrielle et demande que cessent les techniques destructrices. Parce que les consommateurs ont le pouvoir d’exiger des marques qu’elles s’approvisionnent en produits « non menacés », les militants ont entamé ce samedi une campagne d’information sur le terrain, relayant la pétition en ligne depuis le 6 octobre et recueillant déjà plus de 34 000 signatures.
En ce jour de grande affluence dans les centres commerciaux, les militants de Versailles ont rencontré des consommateurs pressés mais néanmoins réceptifs aux arguments de Greenpeace et soucieux de ne pas se rendre complices de la destruction des océans. A l’intérieur du centre commercial, au rayon des conserves de poisson, les militants ont ainsi étiqueté des dizaines de boîtes Petit Navire pour attirer l’attention des consommateurs et entamer le dialogue.
» width= »14″ height= »14″/> Vous aussi, vous pouvez vous mobiliser : Ecrivez à Petit Navire !
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